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Mobilisation

17 novembre 2007 6 17 /11 /novembre /2007 17:41
Pour les grèves solidaires
Signé par plus de 200 personnalités dont Etienne Balibar, professeur émérite à l’université Paris-X ; Françoise Balibar, professeur émérite à Paris-VII ; Daniel Bensaïd, professeur de philosophie à Paris-VIII ; Luc Boltanski, directeur d’études à l’EHESS ; Dominique Cabrera,cinéaste ; Alex Callinicos, professeur d’études européennes, King’s College, Londres ;Michel Onfray, philosophe, université populaire de Caen ; Roland Pfefferkorn, professeur de sociologie, université Marc-Bloch-Strasbourg-II ;lavoj Zizek, chercheur à l’International Center for Humanities, université de Londres. Voir l’ensemble des signatures sur Libération.fr

Libération : vendredi 16 novembre 2007
    
 
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Les grèves de 1995, les mobilisations sociales de 2003, le non de 2005 au traité constitutionnel européen ont contribué à freiner en France la contre-réforme libérale qui l’a emporté partout en Europe. Aujourd’hui, Nicolas Sarkozy et son gouvernement veulent faire de la grève des cheminots et du mouvement dans les universités un test. S’ils parviennent à les briser, ils espèrent avoir les mains libres pour faire passer au pas de charge le train de réformes annoncé sur le droit du travail, sur le système de santé, sur la protection sociale. Ils engagent pour cela une bataille d’opinion visant à diviser et à opposer ceux qui se lèvent tôt à ceux qui sont supposés se prélasser sur le mol oreiller de l’assistanat, le secteur privé au secteur public, les méritants aux récalcitrants, les étudiants studieux aux insoumis.

 
 

C’est pourquoi l’offensive gouvernementale commence par la remise en cause des régimes dits spéciaux, présentés comme un privilège contraire à l’égalité, mais elle se poursuivra par l’augmentation pour toutes et tous de l’âge de la retraite, par la privatisation des services de santé et des assurances contre la maladie et la vieillesse, au détriment de la protection sociale par répartition.

Les cheminots ne luttent pas seulement pour défendre un droit à la retraite obtenu à la Libération en raison de la pénibilité de leur travail. Ils luttent aussi, comme les employés du métro, les postiers, les électriciens, les personnels de santé, les enseignants, pour défendre ce qui reste de service public contre la concurrence débridée de tous contre tous. La double défense de la solidarité sociale et des conditions de l’autonomie de chaque individu passe au contraire par un partage du temps de travail sans perte de salaire, par le maintien du droit d’accès à la retraite égal dans le privé et le public, tenant compte de la pénibilité du travail, par un retour aux 37,5 annuités pour tous.

En soutenant les mobilisations des salariés, la communauté universitaire ne fait pas seulement acte de solidarité. La loi mal nommée d’autonomie des universités ne les soustrait aux tutelles étatiques que pour mieux faire croître parallèlement l’arbitraire bureaucratique et féodal de présidents d’université imitant le management des entreprises privées, et la dépendance à l’égard des marchés. Elle amorce une logique de démantèlement de l’enseignement supérieur public, d’augmentation des droits d’inscription des étudiants, de fragmentation du corps enseignant, de subordination aux lois de la concurrence et aux caprices du marché du travail. Elle affaiblit le droit à l’étude et l’espace public d’éducation. Tels sont les enjeux de la bataille sociale engagée.

C’est pourquoi non seulement nous nous déclarons solidaires de la grève des cheminots et des universités en lutte, et manifesterons à leur côté, mais nous participerons à une mobilisation d’ensemble et à une convergence de ces luttes pour la journée de grèves du 20 novembre dans la fonction publique et au-delà.

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17 novembre 2007 6 17 /11 /novembre /2007 17:33
L'Elysée mise sur l'exaspération des usagers contre les grévistes
 

LEMONDE.FR | 17.11.07

e conflit perdure, et l'Elysée change de stratégie, tout en encourageant le ministre du travail, Xavier Bertrand, à "poursuivre ses efforts" en vue d'aboutir à une négociation. Nicolas Sarkozy a prévenu ses conseillers en fin de semaine : il souhaite désormais entrer"dans une deuxième phase" de la gestion de la grève dans les transports publics, alors que celleci est en passe de se prolonger au-delà du week-end malgré une mobilisation en baisse."La semaine prochaine, on fera de la politique et de l'idéologie", a déclaré jeudi 15 novembre le président de la République devant l'état-major de l'UMP, à Paris.
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Ce changement de pied devrait se traduire par une prise à témoin plus marquée encore de l'opinion, après une semaine où M. Sarkozy a voulu jouer la carte du " dialogue " en saisissant la main tendue par la CGT. Cette concession a été de trop pour une partie de la base UMP, qui rêve de voir les syndicats battus à plates coutures. "Tout ce que nous avons fait jusqu'à présent nous permettra éventuellement davantage de fermeté plus tard , a lancé le chef de l'Etat.
 
"LES GRÉVISTES NE PEUVENT PAS TENIR"

Les sondages confidentiels dont dispose M. Sarkozy l'encouragent dans cette stratégie. Plus de 70 % des personnes interrogées soutiendraient désormais la réforme des régimes spéciaux de retraite, soit dix points de plus en dix jours. "Les grévistes ne peuvent pas tenir", conclut-on à l'Elysée, où l'on estime avoir gagné la bataille de l'opinion. Contrairement à 1995, où les nuisances de la grève avaient fortifié la solidarité des usagers envers les grévistes, chaque jour qui passe renforce le ressentiment des premiers à l'égard des seconds."On compte sur la population pour faire pression sur les grévistes", explique un conseiller. Un autre ajoute : "Il faut jouer sur l'exacerbation du conflit, ou du moins la constater."

Parallèlement, M. Sarkozy encourage toutes les initiatives destinées à faciliter la vie quotidienne des usagers des transports en commun, notamment en Ile-de-France. Les maires UMP réunis jeudi 15 novembre au siège du parti ont été incités à multiplier les signes envers le public. Des bus de substitution, des centrales de covoiturage devraient voir le jour dès ce week-end. Il leur a été conseillé d'allonger les horaires d'ouverture des services municipaux, tels que les crèches.
 
JONCTION ENTRE GRÈVE DES TRANSPORTS ET DE LA FONCTION PUBLIQUE

La distribution des tracts expliquant la réforme et stigmatisant "l'immobilisme" va s'amplifier. L'objectif est double, à quatre mois des municipales : présenter l'UMP comme un parti de bienfaisance dans les villes qu'elle gère, et prendre le Parti socialiste, favorable à l'alignement des régimes spéciaux sur le régime général, "au piège de ses contradictions".

Décrit comme "serein" par ses proches, M. Sarkozy envisage sans angoisse la jonction entre le conflit dans les transports publics et la grève, mardi 20 novembre, de la fonction publique. Il table sur le fait que les revendications particulières des agents de la SNCF et de la RATP "polluent" le mot d'ordre plus général sur le pouvoir d'achat et les effectifs des agents de l'Etat."S'il y a pollution, il y aura dilution", veut-on croire à l'Elysée, où l'on compte isoler les grévistes des transports dans des "revendications catégorielles".

Néanmoins, cette stratégie traduit une forme d'impuissance du chef de l'Etat. Constatant que ni la fermeté ni la souplesse ne sont venues à bout du conflit, il fait le pari du "peuple" et de l'exaspération. Il donne aussi raison à tous ceux qui le soupçonnent de vouloir "dresser les Français les uns contre les autres" ou de souhaiter le durcissement de la grève pour "mettre les syndicats à genoux". Mais l'idée de manifestations organisées au grand jour par l'UMP est toujours écartée par l'Elysée : "Nous ne sommes pas le 30 mai 1968", s'amuse un conseiller du chef de l'Etat.

 
Philippe Ridet
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13 novembre 2007 2 13 /11 /novembre /2007 23:45
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Quel(le) citoyen(ne) solidaire êtes-vous ?

Il y a mille façons de s’engager pour la solidarité internationale, toutes complémentaires.
Et vous, quel serait plutôt votre profil ?

Pour le savoir, rendez vous sur le site de la Semaine de la Solidarité Internationale:

http://www.lasemaine.org/citoyen_solidaire.php

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13 novembre 2007 2 13 /11 /novembre /2007 22:53
Les ALTERNATIFS
solidarités - écologie - féminisme - autogestion
Fédération des Alpes-Maritimes
 
 

INDECENT ET HONTEUX

 

    " Dès 2004, avec l'ensemble du groupe Nice-Plurielle, j'avais protesté contre cette décision sandaleuse prise au conseil municipal : donner le nom de l'ancien maire de Nice au Forum Masséna, c'est réhabiliter un voyou et bafouer la République
Car il n'y a pas d'autre mot pour qualifier Jacques Médecin, qui a détourné l'argent public pour lui-même, ses proches et certains de ceux qui lui ont rendu des services
    Mais l'ancien maire de Nice n'était pas seulement un voyou : c'était aussi un homme d'extrême-droite, aux propos machistes, xénophobes et racistes, et en particulier anti-sémites
    Toute cela ne semble pas gêner le moins du monde les divers candidats de droite aux prochaines élections municipales, qui continuent de se référer à Jacques Médecin : voilà qui est inquiétant pour notre ville ! "

 

Bruno Della Sudda, conseiller municipal Alternatif de Nice

Nice, le 13 novembre 2007

 

 
Les Alternatifs

B.P. 2016 - 06101 NICE cedex 2

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13 novembre 2007 2 13 /11 /novembre /2007 12:09
Grand Rouen
La « droite » est dans la rue

ILLUSION. Quand la « bourgeoisie rouennaise » s'en prend aux prolétaires, ça donne une Manif surréaliste, bon enfant.
«L'argent, c'est pas pour les pauvres ! » : quand la droite défile à Rouen, la dentelle, c'est pour ses vêtements, pas pour les slogans. La manifestation de samedi, 1re du genre dans la capitale normande, a remporté un formidable succès.
Le cortège se forme vers 15 h, place du 19-Avril 1944. Il n'y a là que des gens bien. Cheveux propres, chemise repassée, veston impeccable et slogans prêts à l'emploi : à Rouen, la France qui se lève tôt ne fait pas la sieste. Elle manifeste.
Rapidement, la foule se met en branle. Empruntant les trottoirs, (pour ne pas gêner la circulation), elle se dirige vers la place du Vieux-Marché. Les premiers slogans fusent, sans concession « Plus de parkings Vinci, moins de parkings gratuits », ou encore «Bourgeoisie en colère, y'en a marre des prolétaires ».
Arrivée à l'Eglise Jeanne-d'Arc, une pucelle se porte volontaire. Sous les hourras d'une foule admirative qui s'écrie et reprend en chœur « ça c'est de la vierge », la jeune femme (tailleur, collants, gants, foulard et serre-tête) dépose un cierge en l'honneur de la sainte.
Minute de silence puis reprise de la manif.
Soudain, le cortège est divisé de part et d'autre de la rue Jeanne-d'Arc. Parce que le feu piéton est passé au rouge. La droite rouennaise ne se démonte pas pour autant. Galvanisée, elle hurle à l'unisson : « Respectez les passages cloutés ! »
A mesure que la manif déambule, des Rouennais, sentant le vent tourner, la rejoignent. Des conservateurs de la dernière heure qu'on pourrait qualifier d'opportunistes mais qui ne trompent personne : à partir de 16 h, on voit même des femmes portant pantalon et des hommes aux cheveux longs. L'ouverture joue à plein.
C'est à Paris qu'est née la première Manif de droite. Si Rouen suit le mouvement, c'est qu'elle a aussi ses propres revendications. Deux exemples. Le premier est un slogan, «rendez-nous Hervé Morin », le second est un écriteau, « on en a assez des pauvres, retournez rive gauche ». La droite normande est bel et bien décomplexée. Et les femmes en redemandent : « Sarkozy, décomplexe nous ! ».
Des femmes qui, par ailleurs, tenaient toute leur place dans le cortège (exceptionnellement, elles ont d'ailleurs reçu l'autorisation de se mélanger aux hommes). On a pu les entendre à maintes reprises : « Enfantons dans la douleur, accouchons avec les bonnes sœurs », « travail, famille, poterie », ou encore : « 1re, 2e, 3e génération, nous sommes tous des enfants d'hétéros ».
Devant tant de courage et de parler vrai, les passants sont tantôt amusés, tantôt médusés, tantôt insultants. A ces derniers, il faut parfois expliquer : tout ceci n'est qu'une parodie initiée par des partisans de la gauche alternative.

AXEL LECLERCQ

Paris-Normandie Lundi le 12 novembre 2007
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12 novembre 2007 1 12 /11 /novembre /2007 23:06

On ne travaille pas plus longtemps

On subit une baisse importante de la pension.

 

Gouvernement et patronat se moquent des salarié(e)s. Les chiffres démontrent que la notion du « travailler plus longtemps» est en décalage avec la réalité du travail :

37 ans

C’est la moyenne actuelle de durée des cotisations des salarié(e)s

57,5 ans

C’est l’âge moyen de cessation d’activité des salarié(e)s dans le privé.

57% des salarié(e)s ne sont plus en activité lorsqu’ils atteignent l’âge de la retraite (préretraite, chômage, invalidité ou longue maladie). En 1983, ils n’étaient que 40% dans ce cas : la réforme, qui soi-disant incite à cotiser plus longtemps, n’a rien changé.

 

Avec les réformes de 1993 et 2003, les salariés ne peuvent bénéficier d’une retraite à taux plein qu’avec 40, bientôt 41 et ensuite 42 ans de cotisation. Sauf exception, personne ne peut travailler autant et la pension, calculée en proportion du nombre d’années travaillées, baisse au fur et à mesure. Et comme c’est encore trop pour le gouvernement et le patronat, ils ont ajouté une pénalité supplémentaire : la pension est réduite de 5% par année manquante. Le pensionné moyen, qui n’a réussi à cotiser que 37 ans, subit une réduction de 3 ans x 5% = 15% de sa pension. Il touche ainsi moins de 59% de son salaire.

 

L'entrée de plus en plus tardive des jeunes dans le monde du travail, la persistance d'un taux de chômage élevé, la multiplication des situations de précarité... tout cela rend de plus en plus aléatoire la possibilité d'avoir son nombre d'annuités au complet. Cela devenait déjà difficile avec 37,5 annuités, ce sera quasi impossible avec 40, 41 ou 42 annuités. Il y aura une baisse de la pension au titre des annuités manquantes aggravée d'une baisse due à la décote.

 

Le système par répartition est basé sur un double principe de solidarité : les actifs cotisent pour les retraités, les plus anciens laissent la place aux plus jeunes. Ce double principe est détruit par les réformes précédentes et celles annoncées par le gouvernement !

Telles sont les conséquences de ces réformes imposées aux salariés pour soi-disant sauver la retraite par répartition. Au nom de la productivité et de l’atteinte d’objectifs souvent surréalistes, les patrons n’hésitent pas à se débarrasser de salariés vieillissants, moins productifs, plus souvent absents, mieux rémunérés. Ce sont ces mêmes patrons qui, par la voix du MEDEF, exigent une durée de cotisations de 45 ans.

 

La majorité des personnes part donc déjà et partira de plus en plus à la retraite avec des pensions réduites. Cette tendance ne peut que s’aggraver car l’entrée des jeunes dans la vie active est de plus en plus tardive. Les salarié-e-s seront donc toujours plus nombreux à ne pas bénéficier d’une retraite complète.

Celles et ceux qui en auront les moyens auront recours aux assurances privées, aux fonds de pension, en espérant que, quelques dizaines d’années plus tard, les aléas de la spéculation leur permettront de récupérer leur capital et un peu d’intérêts.

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12 novembre 2007 1 12 /11 /novembre /2007 22:51

UNE EXPLORATION PROMETTEUSE

 

Ce samedi s’est tenue une réunion à l’assemblée nationale en vue de créer un Comité National pour la tenue d’un référendum à propos du nouveau traité européen que Nicolas Sarkozy se vante d’avoir fait accepter par le sommet de Lisbonne. Il s’agit d’une réunion exploratoire. Il ne faut donc pas anticiper sa réussite, je le dis d’entrée.  
Avaient été invités tous ceux qui ont pris des initiatives où qui se sont prononcés d’une façon ou d’une autre en faveur du référendum. Il y avait des oublis dans la liste des invités, sans doute, et des absents à l’heure dite, les uns s’étant excusés, les autres nous ayant laissé sans nouvelle. Il est vrai que l’invitation avait été lancée avec un délai fort bref. L’objectif en vue est de parvenir à inscrire dans une énergie commune les initiatives qui de tous côtés fleurissent pour permettre qu’un référendum soit convoqué. Cela dans le respect de la spécificité de chacune d’entre elles mais avec le souci de l’efficacité et de la cohésion compte tenu du court délai ouvert pour cette action.. Après le tour d’horizon de la situation, le point sur les initiatives existante et l’établissement de la liste de ce qui pouvait être entrepris en commun, chacun est reparti consulter ses mandants en se donnant rendez vous pour jeudi prochain.
Ces précisions initiales étant données, je peux indiquer que les organisations suivantes étaient donc représentées à cet échange : PCF, MRC, Alternatifs, Yves Salesse du Collectif national pour le non , Avenir à gauche,  Maintenant à Gauche, Mars, PRS, des responsables ayant déjà pris des initiatives pétitionnaire désormais solidement lancées  tel Jean-Claude Lefort, des élus et responsables socialistes de niveau national. De son côté  Jean-Pierre Chevènement d’un côté, José Bové de l’autre,  ont fait dire leur accord avec l’idée d’un cadre rassembleur et d’une action méthodique.
Je suis informé qu’au niveau local, dans de nombreux départements et communes des initiatives rassembleuses du même type sont engagées. Elles devraient permettre une information des citoyens sur les procédures possible pour la ratification ou non du nouveau traité et sur son contenu et l’interpellation des élus. A l’heure actuelle on peut résumer l’état de l’argumentation qui anime la mise ne place de ce dispositif.
Premièrement : il est possible de réunir la minorité des deux cinquième de parlementaires qui rendra alors obligatoire la convocation d’un référendum pour décider ou non de la ratification du nouveau traité.
Deuxièmement : la revendication d’un référendum peut être commune aux partisans du oui comme à ceux du non.
Troisièmement : l’issue de cette question dépend de la mobilisation des citoyens et de leur interpellation des élus de tous niveaux dont ils sont les mandants.

Tout ceci est à suivre bien sur. J’en parle pour donner de l’énergie et du courage à tous ceux qui mesurent bien tout ce qui se joue sur cette question, à cette occasion, face à Nicolas Sarkozy, du point de vue de l’identité républicaine de notre pays et de l’avenir de l’Europe.

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11 novembre 2007 7 11 /11 /novembre /2007 22:28
D'après le quotidien "2O minutes" et remise à jour régulièrement.


Cliquez sur le lien:
http://maps.google.fr/maps/ms?ie=UTF8&hl=fr&msa=
0&msid=102229358801875268565.00043e6dd66caca2d11d8&z=6&om=1
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11 novembre 2007 7 11 /11 /novembre /2007 21:42

ASSISES DEPARTEMENTALES

DE LA GAUCHE ANTILIBERALE UNITAIRE

SAMEDI 17 NOVEMBRE

 

La mondialisation libérale sème le chaos et menace la planète !

Il y a urgence à stopper cette logique dévastatrice !

Dans de nombreux pays, la résistance s'organise !

En France, la politique de Sarkozy( celle du MEDEF) s'affiche pour ce qu'elle est :

un projet autoritaire et néo-libéral

qui vise à mettre la France au pas et à l'heure de la mondialisation !

C'est une machine qui porte atteinte à la souveraineté populaire, conforte le pouvoir des firmes transnationales, des fonds de pension, et des marchés financiers !

 

A vous de juger :

franchise médicale,  bouclier fiscal,  exonération des droits de succession des plus gros patrimoines,  défiscalisation et suppression des cotisations,  persévérance dans le nucléaire et autres aberrations écologiques,  mesures contre les étranger-es,  passage en force du traité constitutionnel européen déjà rejeté par le peuple,  TVA sociale

 

Et la liste continue :

atteintes au droit de grève (service minimum dans les transports),  dépénalisation des délits en matière du droit des affaires,  pénalisation des mineurs,  privatisation de GDF,  privatisation des universités,  suppression de 11 000 postes dans l'éducation nationale,  suppression des régimes spéciaux de retraite,  courbettes à Bush


 

Rarement un programme a été aussi ouvertement

favorable aux riches et au patronat,

hostile aux plus démuni-es,

répressif, réactionnaire et dangereux !

 

Il est temps d'AGIR :

 
POUR CHANGER LA DONNE économique et sociale,
pour changer la donne environnementale,

pour changer la donne pour les femmes,

pour changer la donne pour les jeunes,

pour changer la donne en Europe !!!
                                       

 

Le SAMEDI 17 NOVEMBRE

de 9h00 à 18h30

Au Château de Mouans Sartoux (dans la vieille ville).

Salle 8

  Inscription auprès d'ALI KABBAJ (voir ci-dessous)

 

Au programme :

 

La matinée  :

atelier 1 : Les enjeux du traité européen

                            Intervenant : Bruno DELLA SUDDA

 

atelier 2 : L'aménagement du territoire : éclairage local sur la Plaine du Var

                     Intervenant : Pierre-Paul DANNA

 

Pause Déjeuner (courte!)

 
 

L'après-midi :       

atelier 3 : Contribution départementale pour les assises nationales des Collectifs Unitaires.

 

 

 
 - 1er débat : Un croisement des théories et pratiques sociales avec celles de l'écologie est-il possible et pertinent ?
 - 2e débat : Discussion des textes proposés par le secrétariat national (en pièces jointes)
 - 3e débat : Organisation locale du mouvement   
 
 

Pot de l'amitié (Chacune et chacun peut porter de quoi partager pour trinquer toutes et tous ensemble !)

 

 

Pour vous  informer  ou   contribuer par un texte aux débats de cette journée,

-          au niveau national : www.gauchealternative.org

-          au niveau local : http://assises06.gaucheantiliberale.over-blog.org/

 

Inscription auprès d'Ali KABBAJ     

06.37.16.63.10

abdelali.kabbaj@wanadoo.fr

 
Si vous voulez profiter du co-voiturage, faites-vous connaître!
 
Si vous n'êtes pas inscrit, venez quand même! Il n'est jamais trop tard...

 

 

Participation libre mais néanmoins nécessaire !

Merci !
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11 novembre 2007 7 11 /11 /novembre /2007 21:37

 

Les sessions du cycle de débat-formation « Rouge et Vert », organisées par les Alternatifs de PACA, après une pause depuis le début de l’année 2007, reprennent.

 

Après les quatre premières sessions de formation régionale consacrées aux thèmes de l'intercommunalité (à Mouans-Sartoux 06), de la LGV (au Cannet des Maures 83), de la décroissance (à Marseille 13) et de l'AGCS (à Mouans-Sartoux 06) pendant l'année 2005, puis les cinquième, sixième et septième, en 2006, sur l'Autogestion (à Saint-Maximin 83), sur l'École à Gardanne (13) et de nouveau sur l'autogestion à Nice (06), c'est Brignoles (83) qui accueillera la huitième session du

CYCLE de FORMATION régional ROUGE-VERT.

 

QUELLE DEMOCRATIE ACTIVE

 DANS LA COMMUNE...

et dans les communautés

d'agglomération ou de communes ?

 

Samedi 24 novembre
de 14 h à 18 h

dans les locaux de la Confédération Paysanne,
23 rue de la République

à Brignoles dans le Var

 

avec la participation de :

. Jean-Blaise PICHERAL,

animateur du réseau Démocratiser Radicalement la Démocratie (DRD) et de

. Jean-François PELLISSIER,

maire-adjoint du 13e arrondissement de Paris (Alternatif).

 

Comme les précédentes, cette session de formation est ouverte à toutes et tous. Elle est particulièrement destinée à celles et ceux qui sont intéressé-e-s par ce thème, à un moment où dans de nombreuses communes se construit déjà l’élaboration d’un programme municipal et la construction de listes pour les élections municipales des 9 et 16 mars 2008.

 

DEROULEMENT DE LA SESSION DE FORMATION

. 14 h – Accueil et présentation du cycle de débat-formation (Christophe Terras)

. 14 h 10 – Présentation de la session d’aujourd’hui : les enjeux de la démocratie active pour les Alternatifs (Bruno Della Sudda)

. 14 h 30 – Présentation et enjeux du budget participatif : de quoi s’agit-il ? Quels enseignements ? (J.-B. Picheral)

. 15 h 15 – Débat

. 16 h – Pause

. 16 h15 – Quelles propositions pour une démocratie active dans la commune ? (J.-F. Pellissier)

. 17 h 00 Débat

. 18 h Fin des travaux

 

  ENTRÉE LIBRE

 

Un co-voiturage sera organisé dans les Alpes-Maritimes : merci de signaler si vous êtes intéressé-e-, ou si vous pouvez proposer des places dans votre voiture.

 

Pour toute information complémentaire, pour s'inscrire : 06@alternatifs.org

 
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Plan d'accès au local de la Conf'
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